top of page
images (7).jpg
téléchargement.jpg

Penchak silat

Ne soyez plus une victime..

La self défense pour tous.

Déluge Rémi
Représentant FISFO caraibe

Le pencak-silat, art martial indonésien

Pencak silat est  le terme officiel pour désigner les pratiques de combat du Monde malais. 

Le silat est pratiqué avec des armes ou à mains nues.

Le pencak-silat est l'art martial traditionnel d’Indonésie. Il regroupe deux courants d’arts martiaux pratiqués à Madura, Bali et Java, le pencak, et le silat originaire de l’île de Sumatra. Les arts martiaux silat sont également pratiqués en Malaisie, à Singapour, dans le Sud de la Thaïlande, à Brunei et aux Philippines.

​

​

​

​

​

​

​

​

​

Chaque région a développé son propre style, et il existe de nombreuses écoles de pencak-silat (entre 700 et 1000 environ) réparties principalement en Indonésie et en Malaisie.

L’art martial traditionnel indonésien reste encore très peu connu du grand public même si son développement en Occident demeure progressif. Il existe également plusieurs branches de pencak-silat en Indonésie dont une regroupant les écoles hybrides adaptant l’enseignant aux étrangers. Les écoles implantées en Europe et aux Etats-Unis utilisent principalement celle-ci. De plus, de nombreux pays commencent à accueillir des compétitions de pencak-silat, dont la France et les Pays-Bas. Le but demeure également de faire connaître davantage cet art martial.

En France, le pencak-silat fut introduit par Charles Joussot, fondateur de FISFO (Fédéral International System Forces de l’Ordre).

​

​

​

​

​

​

​

​

​

Physiquement, les malais ne possèdent pas un corps robuste ni imposant, et ce sont de plus des individus au caractère très doux. C’est pour cela que les techniques de défense du Pencak Silat ne s’appuient pas sur la force physique, qu’elles peuvent donc être pratiquées par tous -filles, garçons, jeunes ou plus âgés- et qu’elles aident aussi les personnes faibles à faire face à l’ennemi. Le Pencak Silat n’est pas un art martial dévastateur comme trop de gens le prétendent. Au contraire, le peuple malais est un des plus doux et plus gentils que l’on puisse rencontrer. Il s’agit avant tout d’un art de défense qui, lorsqu’il est appliqué intelligemment, devient très efficace. Grâce à ses mouvements gracieux et esthétiques, le Pencak Silat est aujourd’hui, en Malaisie et en Indonésie, principalement pratiqué par des filles.

​

​

​

​

​

​

​

​

​

Le Pencak Silat impose une discipline rigoureuse, composante de la mentalité de l’homme qui obéit aux règlements et aux lois. Cette mentalité enseigne aux élèves le respect de leur maître, de leurs parents, de leurs amis, de leur peuple et plus précisément de Dieu le Créateur. Le Pencak Silat n’est donc pas utilisé à de mauvaises fins, mais pour se défendre soi, sa famille, son peuple et sa nation.

​

Du point de vue défensif, le Pencak Silat est l’art martial malais. Bien que le Pencak Silat apparaisse doux et esthétique, il s’appuie sur des techniques très fermes. Il n’y a cependant aucun doute qu’il diffère fortement des autres arts martiaux qui se basent sur la force, la rapidité, la résistance, l’adresse et la précision.
Si l’enjeu d’un art martial est en effet de s’assurer des possibilités et des moyens physiques, leur efficacité naturelle sera moindre si aucune technique valable n’est utilisée. Le Pencak Silat apporte les techniques permettant aux pratiquants de combler ses faiblesses physiques et d’affronter son adversaire. Quant aux personnes dont les aptitudes physiques sont maximales, les techniques du Pencak Silat ne peuvent que les perfectionner. 

​

La partie défensive est souvent gardée secrète et n’est pas donnée en spectacle, ceci afin de conserver la sécurité et l’harmonie de la communauté du Pencak Silat. Quelques soient les arts martiaux, ils sont toujours enseignés afin qu’une personne puisse les utiliser rapidement. Dans l’utilisation du Pencak Silat, avec ou sans arme, on distingue trois formes de défense, à savoir défense à distance éloignée, moyenne et rapprochée, et à chaque type d’approche correspondent des techniques bien distinctes. 

téléchargement (6).jpg
téléchargement (5).jpg
images (9).jpg
1548495a09f346cddb4a400f0eb467f7--sword-
unnamed (1).jpg
images (12).jpg

Le penchak-silat, Charles joussot et la FISFO

En France, le principal représentant et précurseur de la discipline est Charles JOUSSOT, ancien disciple de Tuan Raban et surtout de Guru Hardjono Turpijn.

Pour rappel, Charles JOUSSOT découvre Maître Hardjono TURPIJN au travers d’un article paru dans le magazine Karaté qui retient toute son attention.

71k2JQbCMxL.jpg

A l’époque, M .Charles JOUSSOT avait pratiqué quelques temps la Savate, la Boxe Anglaise, un peu le Karaté et ce fut la rupture de toute pratique sportive jusqu’au moment précis où il prend contact avec le Maître Indonésien Hardjono TURPIJN.

C’est cette même année que la rencontre se fait, Charles JOUSSOT a 33 ans et Maître Hardjono TURPIJN lui démontre l’efficacité du Penchak-Silat.

Aussitôt, Charles JOUSSOT commence son apprentissage et fait preuve de son talent en passant rapidement les étapes avec succès.

En 1984, il ouvre son premier club rue de Dunkerque, en 1987, il ouvre un club plus grand situé, rue de l’Ourq à Paris (19ème), qu’il fermera en octobre 1998 pour partir aux USA afin de continuer l’œuvre de son Maître Hardjono TURPIJN.

Après plus de trente années d’expérience de terrain, Charles Joussot a mis au point un grand nombre de techniques portant sur le contrôle des agresseurs, le menottage, les sorties de véhicules, etc., pour les groupes d’intervention, les agents de sécurité et les gardes du corps autrement dit les professionnels de la sécurité.

C’est cette méthode de self-défense, dérivée du penchak silat, mise au point sur le terrain, qu’il présente à travers son école.

fisfo200.png
images (15).jpg
bottom of page